Attention, cette histoire est assez violente, elle est basée sur le non-consentement et le viol. Si vous n’aimez pas le genre ou si vous êtes une âme sensible, ne lisez pas ce qui suis, je peux vous garantir que vous n’aimerez pas. Pour les autres, bonne lecture.
La situation est désespérée, nous sommes 15 réfugiés dans un ancien camp militaire, occupés à repousser les zombies depuis plusieurs semaines sans voir la possibilité d’échapper a ce cauchemar. Il nous faut nettoyer la zone, mais sans relâche de nouveau contaminés arrivent sans cesse. Nous avons mis près de trois ans pour être à peu près tranquille. Aujourd’hui, si on ne peux toujours pas se relâcher, on sait au moins que l’on est à l’abri ici.
Les zombies ne sont pas des morts-vivants, c’est bien pire. Dès qu’on est infecté, en quelques minutes, nos deux hémisphères du cerveau sont détruites, ne laissant que notre cerveau reptilien d’actif. On se transforme alors en zombies, non sans avoir passés des moments horribles en crachant le sang partout et en contaminant les autres. Bon, on ne devient pas un mort vivant, mais c’est tout comme. La seule différence c’est que le contaminés sont plus facile à tuer. Toute la planète semble anéantie, aussi quand la patrouille du jour nous signale qu’elle revient avec deux survivants retrouvés en pleine campagne, dans une voiture, nous sommes curieux de connaitre leurs expériences.
Lorsque je les vois arriver, je fus d’un côté déçu par le manque d’aide qu’elles pourront nous apporter pour nous défendre, ce n’était qu’une femme d’environs trente-cinq ans et une jeune fille d’environ dix-huit ans, complètement perdue et reconnaissante de trouver enfin des personnes vivantes. Elles se ressemblent, sûrement la mère et la fille. Les deux sont sublimes, avec un corps de fou. Mais niveau combat, elles ne doivent pas valoir grand chose. Pas parce que ce sont des femmes, je ne suis pas misogyne. Mais à cause de leurs styles, de leurs façons d’être de parler. Je vois de suite que ce sont deux bourgeoises n’ayant pas eus à mener de combats dans la vie, enfin jusque à la maladie j’imagine. Je me demande comment elles ont fais pour survivre.
Par contre au regard de mes hommes je comprend vite, cela fait plusieurs mois qu’ils jeûnent sexuellement et leurs regards lubriques déshabillent les femmes sans qu’elle s’en rendent compte, elles sont totalement épuisées. La mère se prénomme Sandrine, la fille Océane. Elles ont respectivement trente-cinq et dix-huit ans.
Nous leur préparons d’abord un bon repas, ensuite elles purent prendre une douche chaude, ce qu’elle n’ont pas fait depuis si longtemps. L’accueil est chaleureux, cela les réconfortent, on leur laisse un des anciens dortoir pour se reposer. En fait, pendant le repas, elles nous ont expliquées comment elles ont pus survivre si longtemps. Le mari de la plus âgée, donc le père de la plus jeune, était un espèce de survivaliste. Il avait fait un gros stock de nourriture non périssable dans leurs grands appartements des beaux quartiers de Paris. Lui à dut mourir, car elles n’ont jamais eus de ses nouvelles après le début des événements. Elles sont donc restées cachées bien au chaud chez elle. Mais avec le temps, elles n’eurent plus rien à manger. Il y a trois semaines, elles ont donc quittées leurs bel appartement. Chanceuse, elles ont pus se rendre sans encombre au parking souterrain de leurs domicile, prendre leurs voitures et quittées la ville.
A peine les deux femmes couchées, mes deux seconds vinrent me voir.
– Vous pensez à la même chose que nous chef .
– Oui bien sur, je sais le manque occasionné par l’absence de femmes. Il va falloir qu’on se les fassent!
– Mais elles vont pas vouloir…
– La survie de l’espèce humaine est en jeu, on ne leur demandera pas leur avis.
IL rougit me regardant gêné.
– Mais c’est du viol…
– Oui, tu crois qu’elles préviendront la police? Bon, on va faire un truc, voyez avec les autres, ceux qui sont pour les prendre de force et ceux qui sont contre, la majorité l’emporte. On est quinze, il n’y aura pas égalité.
Un gros quart-d’heure plus tard, mes seconds reviennent. À l’unanimité, le vote est de les prendre, consentante ou pas.
Le soir même les ‘catins’ furent droguées juste assez pour être conscientes mais sans pouvoir réellement se défendre. On est pas des sauvages non plus, enfin pas encore, on va essayer d’éviter au maximum l’usage de la violence physique sur elles. Je m’étais arranger pour leurs donner une grande chambre avec deux lits. Ainsi du début à la fin, l’une ne manquera pas de voir ce que l’on fais à l’autre.
Quand la mère voit deux hommes s’approcher d’elle, commencer à la caresser, puis commencer à la déshabiller, malgré la drogue, elle comprend l’horrible situation dans laquelle elle est.
– Oh non! S’il vous plaît! Pas ça! Je vous faisait confiance…
– Désolé ma chérie, je dis, lui caressant les cheveux, il y a 14 hommes ici en manque tu dois assurer la survie de l’espèce.
– 14… elle me dit dans un sanglot. ukraynalı gaziantep escort Je croyais que vous étiez quinze…
Je crois que Sandrine comprend ce que j’ai voulus dire, mais qu’elle ne veut pas se l’avouer.
– Ah oui j’ai oublié de te dire.. moi je préfère de loin ta petite Océane, elle me fait beaucoup plus bander que toi, puis à dix-huit ans elle doit être beaucoup plus fertile. Mais rassures toi, tu seras comblée par tous mes hommes, ils ont du retard niveau cul.
– Non! Pas ma fille, s’il-vous-plaît, c’est encore une enfant, Océane à beau avoir dix-huit ans, elle n’est pas prête! Moi je ferais tout ce que vous voudrez.
Je rigole à sa proposition. Sa fille sur le lit d’à côté, dors déjà, les effets de la drogue. Tant mieux, au moins elle ne voit pas ce que l’on fais à la mère.
– Mais de toutes façons ma chérie, toutes les deux, vous ferez tout ce qu’on voudra!
Pendant que les hommes déshabillent complètement la femme qui se défend mollement, je m’approche du lit d’Océane. Je commence a déshabiller la fille, elle s’est réveillée. Océane se laisse faire, elle est si terrorisée qu’elle n’ose rien dire.
Une fois toute nue, j’admire ses beaux seins et sa chatte où coure un fin duvet de poils blonds, mes penchants pervers se réveillent, faisant dresser mon sexe énorme et droit, devant la fille terrifiée qui voit sa mère se faire baiser a la suite par mes hommes qui n’ont pas perdu de temps.
– Chef on pourra se la faire la pucelle après?
– Quand je te la passerai je dis en riant, elle sera plus pucelle.
Surtout que je compte bien visiter chaque orifice de la belle jeune femme au seins encore plus gros et ferme que ceux de sa mère, pourtant déjà imposant.
Je n’eus aucune résistance de la part de la jeune femme tant les calmants ont fait leur effet, j’essaie avec difficulté d’entrer mon doigt, mais son petit vagin étroit m’en refuse l’entrée. La pauvre, même droguée, elle va sentir passer ma bite. Je dois mouiller plusieurs fois mon index, puis forcer pour rentrer le doigt arrachant un gémissement de douleur à la femelle
.
Pendant ce temps, la mère amorphe, désespérée, subit les assauts de 14 hommes déchaînés, qui la viole et se vident à la chaîne en elle.
– Ne l’abîmez pas, ne cassez pas votre jouet, nous ne savons pas si nous auront d’autres femmes aussi belle par la suite!
Mes hommes semblent approuver mon ordre, ils continuent de la violer, mais moins durement. Ce n’est pas parce qu’elle ne hurle pas qu’on ne peux pas la blesser…
Je reviens à Océane, je pousse mon doigt un peu plus, arrachant un cris à la chienne.
– En tout cas celle la est bien pucelle!
J’écarte sans mal les cuisses de la femelle, puis je me mets à genoux entre elles.
– On oublie jamais son premier homme ma chérie!
Je lui dis cela tout en positionnant mon sexe contre sa vulve presque imberbe.
Le gland a du mal a écarter le vagin très étroit, qui refuse une si grosse pénétration, mais ses muqueuses, bien que très serrée, ne purent résister longtemps. Mon sexe commence a s’enfoncer dans un fourreau chaud et étroit, pendant que ma victime se tortille en pleurant sur le lit. J’ai mis dans le verre de Océane, une dose de drogue moindre que pour la mère, à mon avis, si j’y suis aller suffisamment fort pour Sandrine, j’ai dus en mettre vraiment pas assez pour Océane.
J’ai trop de retard et d’envie pour prendre des gants, c’est comme un soudard que je donne un coup de rein qui me fait m’enfoncer d’une dizaine de centimètres, lui arrachant le pucelage, dilatant la petite vulve et faisant hurler la blonde.
La mère tourne la tête, je vois son regard haineux qui me regarde violer sa fille. Mais aussitôt un des homme lui attrape les cheveux et s’enfourna dans sa bouche.
Jamais je n’ai été si serré par une des femmes que j’ai baisé dans le passé. J’apprécie donc vraiment la magnifique Océane. Je commence à limer doucement la pute, lui arrachant des gémissements de douleur a chaque mouvement tant mon sexe est trop imposant par rapport à son orifice. Une disproportion qui m’arrache un plaisir indéfinissable.
Je lime à présent plus vite, malgré les pleurs de ma victime, ainsi que la douleur qu’elle doit ressentir. Un léger filet de sang suinte lorsque mon sexe ressort presque, confirmant la virginité de la belle violée.
Je ne peux résister bien longtemps tant mes couilles sont pleines. Je m’enfonce un peu plus sur la fille, mon pieu touchant le fond de son petit vagin, j’envoie de nombreux jets de sperme directement contre sa petite matrice fertile. À dix-huit ans, cette petite salope reçoit enfin son premier sperme…
La belle violée pleure doucement, le calmant, bien qu’insuffisamment dosé a fait son effet, son viol a pu être supportable, mais on ne pourrait pas la shooter en permanence, ni elle ni sa mère, et il faudra qu’elles s’habituent à leurs nouvelles conditions de putain.
Sans aucune pitié je me relève, gaziantep ukraynalı escort je et regarde l’ex-pucelle qui me fixe de ses yeux larmoyants. La mère, elle, subit toujours les assauts de mes gars, comme absente, choquée par la multitude de viols et pénétration qu’elle vient de subir.
– Pour les amateurs, l’autre aussi est à vous. Pour ceux qui aime le sexe violent, n’y allés quand même pas trop fort. Par contre c’est seulement par devant, pour le cul on verra plus tard.
Tout le monde comprend que je veux me réserver sa première sodomie. La plupart des hommes ne sont pas gênés par le fait de faire l’amour avec la fille, après avoir violés sauvagement sa mère. La plupart décide néanmoins d’en finir avec Sandrine, avant de passer sur Océane.
Deux hommes qui attendent pour baiser Sandrine, la queue dressée, eurent moins de scrupules. le premier s’agenouille entre les cuisses de Océane, il enfonce brutalement son sexe dans le vagin a peine refermé, sans se soucier des pleurs de sa victime. Le deuxième passe ses mains partout sur le corps violé, tripotant les tétons épais, promenant son sexe sur la bouche qu’elle refuse d’ouvrir.
Sans aucune pitié je regarde la petite putain se faire violer par l’homme avant qu’il jouisse et ne soit aussitôt remplacé par le deuxième, qui pénètre Océane sans aucune pitié pour son tendre âge.
Les hommes se succédèrent ainsi pendant presque 3h sur la mère et la fille, les pénétrants de tous les côtés, souvent a deux, par la bouche et la chatte. C’est au moins 2 ou 3 jouissances chacun que prirent les hommes avec les putains du groupe.
La fille est restée prostrée, cuisses écartées après sa trentième pénétration, le sperme mêlé de sang dégoulinant de son petit vagin dilaté et éclaté.
Je la caresse de partout pendant que le viol de sa mère continue, puis mon sexe ayant repris de la vigueur, je m’allonge à nouveau sur elle, la pénétrant cette fois-ci avec beaucoup plus de facilite.
J’apprécie son petit vagin pourtant encore étroit malgré le nombre de viols, je décide que si nous réussissions a créer une nouvelle société, le dépucelage des fille sera obligatoire le jour de leurs dix-huit ans. Cette fois je prends bien le temps de limer la belle putain, m’enfonçant bien a fond, touchant parfois le fond de son vagin, ce qui lui arrache un gémissement douloureux puis pour la deuxième fois j’envoie mon sperme dans son petit sexe, en me laissant tomber lourdement sur elle.
Le viol de la mère et de la fille dure quasiment toute la nuit, les hommes se succédant sur elles, avant de tomber tous épuisés, ayant jouis plusieurs fois chacun, ayant rattrapé une partie du temps perdu, dut à la disette de sexe féminin.
De mon côté j’entraîne la belle Océane dans ma chambre, faisant comprendre aux autres que si ils ont l’entière disposition de la mère, Océane est désormais réservée a mes plaisirs. De toutes façons, ils savent que je suis partageur, qu’ils pourront avoir Océane à la demande ou au gré de mes envie.
Une nouvelle vie s’installe, en fait la mère très traumatisée par les multiples viols, ainsi que sa première sodomie pratiquer le lendemain, prélude à une journée d’enculage, a fini par accepter sa situation. Elle se fait baiser plusieurs fois par jour sans poser le moindre problème, ayant nourriture, chaleur et protection. Elle se contente de sa condition de putain, sachant que dehors cela serait bien pire.
Océane à eut plus de mal, au bout de quelques jours mes viols quotidiens ont habitués son jeune corps à ne plus trop souffrir, mais pour une jeune fille de dix-huit ans, il est difficile d’être soumise sexuellement, de comprendre la perversité d’un homme avec son jouet.
Elle est libre pourtant, faisant ce qu’elle veut, elle passe peu de temps avec sa mère, qui elle est pratiquement violée tout la journée. Océane regarde souvent des séries qu’un des homme à ramené lors d’une excursion.
Par contre des que j’ai envie d’elle, j’emmène la magnifique Océane dans mon lit, je la pénètre directement, me soulageant avec un plaisir décuplé par son jeune âge et sa fertilité au top. Je lui ai dépucelée le cul quelques jours après ma première fois avec elle. Chaque jours, en plus de trois coïts vaginaux, elle a droit à son enculage, inutile de vous dire qu’elle déteste cela.
La mère et la fille furent rapidement mises enceinte, la situation s’améliore elle aussi rapidement, nos nombreuses excursions nous ont fait ramener véhicules, essence, nourriture, et tout ce que les hangars peuvent contenir comme confort pour plusieurs années. Nos appels radios restent sans réponse, très peu de survivants ayant échappés à la catastrophique pandémie. Dans le coin tout du moins, pour le reste du monde, je n’en sais rien, mais j’ai vraiment peur que cela soit pareil. Par contre de quinze nous somme passé à vingt-et-un. Depuis qu’elle est enceinte, Océane peut elle aussi être baisée à l’envie par mes gars.
Un jour euphorique les hommes ramènent une gaziantep ukraynalı escort bayan femme de 36 ans, Sylvie avec trois filles : Céline vingt ans, la fille aînée de Sylvie. Laure dix-huit ans la seconde fille de Sylvie. Ainsi que Mina dix-huit ans également, la meilleure amie de Laure. Le quatuor est terrifiées. Elle se sont terrées avec leur mari et père, dans leur cave jusqu’à ce que celui ci meurent. Depuis trois mois, elles sont parties terrifiées errant dans la campagne.
Une fois rassasiées, sans qu’elle se doute de leur sort, la même soirée que pour l’arrivée de Sandrine et Océane se reproduit. Nous avions promis à Sandrine et Océane une semaine sans viols, si elles n’avertissent pas les nouvelles arrivées du sort qui les attends. Pour notre part, on s’est abstenue de tous attouchements sur nos deux putains, pour ne pas leurs attirer le doute.
Sylvie une belle rousse au gros seins, mais l’air paumée fut droguée elle aussi, se retrouvant sans beaucoup de défense. Céline sa grande fille, aussi rousse que sa mère, n’a pas un corps aussi parfait : petits seins et petit cul. Laure la plus jeune des deux filles de Sylvie, a les même gros seins que sa mère. On a pas droguée les deux plus jeune, j’ai voulus que mes hommes s’amusent bien avec deux jeunes adultes aussi belle. Ce fut pour elles que ce fut le plus dur, parce que pas préparée a ce qu’elles allaient vivre, se croyant protégées avec nous. Aucun des gars ne pris de précautions, les trois femelles furent violée par les 21 hommes a la suite, heureux de changer un peu de trous, se partageant entre les fille et la mère . Cette fois il n’y eut pas de cadeaux, vagin, anus, bouche, tout fut dépucelé le jour même.
Moi je me suis réservé Mina, dans ma chambre, sans drogue pour elle non plus. C’est une superbe brune au corps de dingue et à la peau douce et mat. J’ai dus la battre un peu, mais un nez cassé cela vous rends une petite salope plus consentante. Elle aussi à perdu ses trois pucelages dans la même nuit.
Sandrine et Océane semble presque heureuse de ne plus être les seules putains du groupe. Par contre Mina, est mon exclusivité. Pour l’instant, près d’un mois après son premier viol, elle me satisfait toujours. Tant qu’elle est encore assez serrée pour me procurer mon vice favori, qui est de l’enculer chaque soir, elle sera épargnée par les autres qui en ont maintenant cinq pour se vider…
Sept mois passe. Un de mes hommes est mort, attaqué par des contaminés lors d’une patrouille. Sandrine accouche d’une petite fille que l’on prénomme Lydia. Tout le monde la fête comme la première née du nouveau monde. Océane et les trois autres, enceintes elles aussi, accouchèrent quelques semaines plus tard. Trois filles et un garçon. Océane donne naissance à une fille, la mienne, je la prénomme Sandra.
Mina fut aussi bientôt enceinte. Je pratique à partir de ce moment la une activité sexuelle uniquement anale avec elle, afin de ne pas faire courir de risques au bébé. Elle est d’un petit gabarit, j’ai peur de blesser le bébé avec ma grosse queue.
J’ai remarqué que les femmes enceintes sont plus souvent sodomisées. Je crois que cela excite beaucoup les hommes de violer une putain enceinte, avec un gros ventre, de pouvoir la sodomiser puis prendre leurs plaisir avec, sans aucun scrupules.
De mon côté Mina commence a me lasser, je la baise de moins en moins depuis son accouchement, elle fait pourtant tous les efforts pour me plaire, sentant le danger d’une désaffection de ma part. Elle sait que si je m’en sépare, elle deviendra une simple putain pour tout les hommes. Surtout que Lisa, une brune super bien foutu, de dix-neuf ans vient d’être retrouvée quelques heures plus tôt. Je pense que je vais en faire mon exclusive, laissant ainsi à mes gars, une Mina qu’ils n’ont jamais encore touchés.
Mon autorité est assurée auprès de mes hommes, mon second étant médecin s’est occupé de tous les problèmes de santé et de grossesse. La vie reprend son rythme, mais surtout orientée vers le sexe et le vice. Il n’y a plus la télé, faut bien que l’on s’occupe.
Le samedi soir suivant, (nous avions garde des rythmes normaux), après un arrosage d’alcool excessif, je me suis tourné vers mes hommes, j’ai dit sans aucune pitié :
– Notre Mina m’a déjà donné un fils, je pense qu’il est raisonnable qu’elle rejoigne les femmes prostituées de la communauté, il en sera désormais ainsi de toutes les étrangères que nous ramènerons chez nous. Si je ne la garde pas comme exclusivité, elle sera violée immédiatement par vous. Lisa prends la place de Mina auprès de moi et devient mon exclusive! Cela fait trois jours qu’elle est là, il est temps qu’elle goûte de la bite.
Lisa, que j’ai faites droguée afin qu’elle ne soit pas présente, ignore que je vais la violer dès le lendemain matin. Mina me regarde terrifiée comprenant que la période de douceur est révolue pour elle. Désormais comme les cinq autres femmes, elle devient une des putain du groupe. Aussitôt, mes vingt gars se jettent sur elle, ils la violeront tout la nuit.
Mes gars désignent l’un d’eux pour passer le premier sur le corps de Mina. Ils viennent à quatre sur elle. Mon ex-exclusive me regarde pendant que les trois hommes la tienne, l’heureux élu commence a lui enfoncer son sexe dans l’anus, malgré ses cris et ses pleurs. Les cinq autres femmes avaient déjà été choisies par les autres hommes, c’est alors une véritable orgie qui se déroulait dans notre salle.